space wolf de Wiliam King

Quelques explications :

Warhammer 40 000 est la version futuriste de l'univers d'heroic fantasy mentionné dans un autre article. Aux dieux du chaos, armées de l'empire, elfes eldars, orks, ect, rajoutez des vaisseaux spatiaux, des aliens tyranides et autres joyeusetées et vous aurez une idée de la chose.

Quant au pitch général, le voici : l'impérium, rassemblant toute l'humanité sous sa bannière se bat dans une guerre sans fin contre les orks, tyranides et adeptes des dieux du chaos. L'impérium est composé de nombreux corps d'armés dont des unités surhumaines et surentrainées, les space marines, organisés en chapitres.

L'aspect martial de cet univers de fiction n'étonnera pas le lecteur de cet article lorsqu'il apprendra qu'il est issu d'un jeu de figurines simulant des batailles.

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Space wolf est la première tentative de lecture d'un roman issu de cet univers*. Devant le large choix de titres disponibles, la sélection s'est sans doute faite un peu au bonheur la chance, et avec à l'esprit un membre de ma famille qui autrefois était passionné par ce chapitre.

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Le roman commence par un chapitre poétique sur les armures de combat, les servomoteurs, missiles et tanks remplis de servants du chaos à dessouder. La description est plutôt dynamique et claire.

Ragnar, le héros, est blessé sur le champs de bataille, perd connaissance - flashbakise à mort - et sa biographie peut commencer. L'histoire relate ensuite les origines du héros de sa jeunesse à son entrée dans le chapitre des spaces wolfes en tant que space marine.

Le monde des spaces wolfes, Fenris est un monde glacé à la nature dangereuse, de culture inspirée de la Scandinavie. Les hommes sont rassemblés en tribus moyenâgeuses belliqueuses, tenues dans l'ignorance de la technologie et de ce qui se passe dans l'univers. Et après tout, cela n'est peut-être pas plus mal.

Le roman, une bonne série B, offrira un point d'entrée intéressant au lecteur méconnaissant warhammer 40 000 K : il découvrira progressivement avec Ragnar l'envers du décors menant de Fenris à l'univers de l'impérium.

Alors pour qui ? Pour les amateurs de warhammer/de space opera militaires...

Une autre chronique : Le traqueur.

* Il s'agit presque d'un défi personnel : tenter de se replonger à nouveau dans le genre, après la déception de Mark of chaos. Nous pourrions presque l'appeler le "défi du traqueur (en hommage au spécialiste de W40K). Tiens, ce genre de défi de lecture aussi devrait être lancé...