samedi 3 novembre 2018

Overlord S1 - brève chronique



Synopsis wiki : L'histoire débute dans Yggdrasil, un jeu de rôle virtuel en ligne connaissant un véritable succès mais sur le point de se fermer après douze ans d'existence. Le protagoniste principal dénommé Momonga a néanmoins du mal à l'accepter, il n'a aucune famille ni amis, ni de petite amie, et ne trouve plus de sens à vivre dans la « réalité ». Il est le chef de l'une des dix meilleurs guildes du jeu, la guilde Ainz Ooal Gown, composée exclusivement de « non humains » dont le quartier général est la « Grande Tombe de Nazarick ». Sur les 41 membres de la guilde, seuls subsistent désormais le chef de la guilde et les PNJ, des personnages créés par les membres afin d'assurer la protection de la guilde. Momonga décide de rester immergé dans le jeu jusqu'à la déconnexion forcée. À sa grande stupeur, à l'heure annoncée de l'arrêt des serveurs, au lieu de revenir dans le monde réel il est envoyé avec sa guilde dans un nouveau monde. Il s'aperçoit très vite que les PNJ semblent acquérir leur propre volonté et surtout qu'ils sont devenus réellement vivants, dotés d'odeurs corporelles ou d'un pouls et surtout de sentiments. Il tente de découvrir ce monde et s'efforcera de se faire connaître sous le nom de Ainz Ooal Gown, nom porté auparavant par un sceptre orné, symbole de la guilde et l'un des plus puissants items créés dans Yggdrasil. Dans ce monde nouveau et inconnu, où la magie qu'il employait à Yggdrasil fonctionne toujours et où la plupart des monstres de l'ancien jeu sont devenus réels, il a choisi son nouveau nom dans l'espoir de trouver d'autres joueurs qui comme lui se seraient retrouvés envoyés dans ce nouveau monde.

Overlord S1 - série vue sur Netflix  : encore un anime basé sur des lights novels japonaises et dans le thème de joueur de jeu plongé dans une réalité virtuelle qui "devient réelle, prend forme".

Là encore, comme dans log horizon, le héros, un seul (semble-t-il) se retrouve dans un nouvel univers suite à une mise à jour sans comprendre ce qui se passe. Il découvre bientôt que les PNJ qui forment les servants de sa guilde, ainsi que tous les PNJ du monde, ont pris "corps".

L'originalité - ou innovation - est que l'univers semble plus se rapprocher d'une sorte de world of warcraft assez sombre et que le héros est déjà au sommet d'une puissance colossale par rapport à ses vis à vis, faisant perdre un éventuel attachement que l'on pourrait avoir envers ce personnage (et sa nature de nécromant n'aide pas).

Un certain intérêt réside toutefois dans la découverte du monde et l'usage que fera de sa puissance le protagoniste principal. Le dessin animé a une touche beaucoup plus gore que les autres. Et sauf exception (avec des sorts, potions, etc qui ont un coût), pas de résurrection ni de "respawn".

Bien que moins intéressant que les prédécesseurs que j'ai déjà chroniqué, cette saison 1 se laisse regarder et plaira aux amateurs de gros bills.

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