dimanche 12 août 2018

Bref report : League of gods


Synopsis (GB) :Based on the 16th-century Chinese novel The Investiture of the Gods 封神演义. With a production budget of RMB450 million, the film features a star-studded cast such as Jet Li, Tony Leung Ka-Fai, Louis Koo, Fan Bingbing, Huang Xiaoming and Angelababy. A long time ago, a determined King Zhou, supported by his concubine Daji, sets his mind on conquering the Middle Kingdom. After years of slaughter, the unyielding Adept tribes have been eliminated in succession. Jiang and General Ji from Qishan are King Zhou’s longstanding opponents. Under a divinatory sign, Jiang discovers that the Sword of Light can reverse the adversity. General Ji has reservations over the unruly nature of the weapon, but Jiang believes that hope lies in risks. He then makes a shrewd scheme of assigning the quest for the Sword to several nobodies—Ji Lei, Nezha, and Er Lang Shen. Each born with strange Adept powers, the team is confronted with their own respective fears that threaten to endanger the quest.


League of gods est un film de fantasy chinoise qui ne vous laisse pas le temps de souffler et navigue entre l'épique (batailles entre clans, un roi possédé par la force du dragon noir, aidé par une renarde avec en face des héros aux pouvoirs distincts), le tragique (dernier représentant d'un clan, dernier clan qui se dresse contre un pouvoir colossal) et le WTF parfois très pipicaca de Toriyama Akira (avec l'attaque du bébé péteur - comprendront ceux qui ont vu le film).

Avec un mélange d'effets spéciaux, de décors et d'esthétiques très variables (parfois des fonds verts dégueulasses rappelant les cinématiques des jeux vidéos du début des années 2000, ou des images assez jolies) et un casting chinois de haute volée, entre FanBingBing, AngelaBaby, Jet Li et Tony Leung... Le spectateur hésitera entre le nanard, le film de genre manqué (par une absence de canalisation des créatifs), l'ovni cinématographique ou l'épiphénomène d'un cinéma chinois d'entertainment en recherche de son style ou en mutation, c'est selon...

A noter qu'à l'instar d'un Iceman, ce film se veut - au moins - comme un dyptique et ne conclue pas son histoire à la fin. (oh ! Spoil !). A suivre ?

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