Quatrième de couverture = Basse-Fosse. La ville du crime.
Les hors-la-loi sont rois, les femmes, fatales. Disparaissez, et les gardes s’assureront que personne ne vous retrouvera jamais.
Prévôt est dealer. Il a été soldat. Il a été agent de la Couronne. Il a tout vu, et même pire. Difficile de trouver âme plus tourmentée.
Il est aussi le plus à même de traquer l’assassin qui sème derrière lui les corps d’enfants horriblement mutilés. Un sinistre jeu de piste, où le chasseur pourrait devenir proie
Les hors-la-loi sont rois, les femmes, fatales. Disparaissez, et les gardes s’assureront que personne ne vous retrouvera jamais.
Prévôt est dealer. Il a été soldat. Il a été agent de la Couronne. Il a tout vu, et même pire. Difficile de trouver âme plus tourmentée.
Il est aussi le plus à même de traquer l’assassin qui sème derrière lui les corps d’enfants horriblement mutilés. Un sinistre jeu de piste, où le chasseur pourrait devenir proie
Le baiser du rasoir pourrait se ranger dans le genre de la dark fantasy urbaine, subdivision à laquelle ont fait partie deux mauvaises pioches : Farlander et la Voie des Ombres. Mais heureusement, ce roman a constitué une assez bonne donne.
L’œuvre est classique et emprunte beaucoup au roman noir avec détective dans la structure de son intrigue. La magie , pas totalement omniprésente, commerce un peu avec les grands anciens. Les "asiatiques" du roman sont un peu caricaturaux (notamment le "mafieux chinois").
Que dire de plus sinon que la nature du personnage principal joue un peu sur la surenchère ?
Alors, pour qui ? Pour les amateurs de Dark fantasy.
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