lundi 29 octobre 2012

Billet intermède décousu de fil blanc, rouge et coloré...

L'un des concepts de "my own toshokan (bibliothèque)" est de découper virtuellement les chroniques idéales quand vous savez que vous ne pourrez rien dire de plus ou de différent à ce sujet : vous les collez en lien.

Wess Craven, je l'ai un peu "raté" : après le Bill Murray de ma jeunesse (Ghostbusters et un jour sans fin) et le Bill Murray en profondeur nippone (Lost in translation), j'avais suivi l'acteur sur La vie aquatique de Wes Craven, sans arriver à m'intéresser au film, avec le sentiment de regarder un ovni continuellement entre deux chaises.

La lecture de la chronique du chat aux pattes de velours aura raison de moi (un ami mettait pourtant sur un piédestal la famille Tenebaum, jamais vu non plus).

Alors en plus de la chronique (lien ci-dessus) que je vous invite à lire, je vous livrerai un petit commentaire :

The Darjeeling limited de Wes Anderson est un festival de couleurs et scènes millimétrées, de situations rocambolesques, qui évoque une peu la dégustation de caranougats entre adulescents trentenaires après une longue interruption. Un régal pour les moments de moral en berne, avec des illustrations sonores vraiment sympathiques...Un film complet, auquel il ne manque rien.

Et le court-métrage où l'on découvre Nathalie Portman...Ah...

2 commentaires:

  1. Ah, oui, très joli court métrage, on ne peut plus envisager le film sans lui... Amusant de voir la fascination du réalisateur pour la France ^_^.

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    1. Et la chanson de Peter Sarstedt que j'ai trouvé à la fois décalée et adéquate... L'auteur a un talent incroyable en fait.

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