Quatrième de couverture = Tu t'appelles Jared. Ta mère est une cuve et ton esprit n'est pas le tien. Tu as parlé à soixante secondes, marché à deux minutes et pris la navette à une heure dix.
Ton avenir ? Il ne t'appartient pas. A deux semaines, tu intégreras le corps d'élite des Forces de défense coloniale, les " Brigades fantômes ". Au nom de l'humanité, toi qui n'es pas vraiment humain. Mais l'esprit-qui-n'est-pas-le-tien grandit en toi. cet esprit qui, ailleurs, planifie la destruction de l'humanité. Au nom de quoi, au nom de qui ?
Et toi, que choisiras-tu, Jared?
Ton avenir ? Il ne t'appartient pas. A deux semaines, tu intégreras le corps d'élite des Forces de défense coloniale, les " Brigades fantômes ". Au nom de l'humanité, toi qui n'es pas vraiment humain. Mais l'esprit-qui-n'est-pas-le-tien grandit en toi. cet esprit qui, ailleurs, planifie la destruction de l'humanité. Au nom de quoi, au nom de qui ?
Et toi, que choisiras-tu, Jared?
Avec les brigades fantômes, John Scalzi poursuit l'exploration de l'univers dont les bases ont été posées avec le vieil homme et la guerre. Il porte ainsi son regard sur le destin des brigades fantômes composées des clones des engagés dont les esprits n'ont pas été transférés car décédés avant. Il s'interroge sur le concept d'identité dans le cadre du transfert d'esprit dans un corps adulte... Ou son absence.
Un excellent roman, non dépourvu d'humour par endroit*, mais dont la chute arrive un peu vite. "L'ennemi public n°1" s'avère décevant lors de la confrontation finale. Par manque de profondeur ? On ne peut s'empêcher de se dire un peu "tout ça pour ça?"....
Finalement, l'histoire reste toutefois d'excellente facture et développe l'univers mis en place dans le premier roman : la formation d'une société des nations tentant de dresser des règles dans les confrontations, des détails sur la planète phoenix...
A conseiller pour les amateurs d'univers bien conçus.
* ils étaient tous d'accord sur le fait que les ewoks méritaient un sort atroce (ou quelque chose d'approchant)...
A voir : l'article de Nébal.
A voir : l'article de Nébal.
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