dimanche 17 novembre 2019

Chroniques flashs de visions anciennes - novembre 1/2



Final space : un peu dans le genre graphique des animés américains tel qu'American Daddy, Paradise Police, etc...Final Space est une série de space opéra, maniant avec succès un côté humoristique, de nombreuses  références SF et une histoire bien conçue, qui se suit avec plaisir. Avec une musique efficace, un découpage du prologue de chaque épisode qui désoriente au début tout en plongeant le spectateur dans l'univers proposé pour en donner du sens, Final Space possède une vraie touche d'originalité qui plaira aux amateurs.




kono oto tomare : Cet animé "tranche de vie", basé sur un manga, raconte l'histoire d'un club extrascolaire lycéen dédié au koto, un instrument à cordes japonais traditionnel. J'apprécie beaucoup ce genre d'oeuvres qui parlent de la vie de tous les jours et nous font découvrir un aspect culturel du Japon parfois méconnu. Et cette série est bien réalisée, développant suffisamment le caractère de ses personnages et leurs relations pour que l'on y croit. Graphiquement le studio Platinium Vision, responsable de l'animation, nous offre quelques magnifiques moments mettant en scène les tourments de certains personnages, sans aller jusqu'au  génie de san gatsu no lion du studio Shaft. 



Isekai cheat magician : une série "isekai", c'est à dire 異世界 de 異 (i: différent, étrange) et 世界 (sekai: monde), que l'on pourrait traduire par "autre monde", est un sous-genre japonais de la fantasy où des individus de notre monde sont transportés dans un autre (un monde virtuel devenu réalité, ou pas...). La proposition de cet univers est de transporter deux héros du Japon dans un autre univers avec des pouvoirs de mages surpuissants dès le début, d'où le sens de "cheat magician". La saison 1 se laisse regarder, mais l'histoire est assez simple et un peu monotone sur cette partie.


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